À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, célébrée ce 8 mars 2025, le Président de l’Union Progressiste le Renouveau, Prof. Joseph Fifamin Djogbénou, a livré un message fort en faveur de l’égalité et de l’autonomisation des femmes et des filles.
Dans son adresse, il rappelle que cette journée ne saurait se réduire à une simple célébration. « Le 8 mars est avant tout un moment de réflexion et d’interpellation », souligne-t-il, mettant en lumière le chemin parcouru depuis la Déclaration et le Programme d’action de Beijing, il y a 30 ans.
*Une égalité qui se construit par des actions concrètes*
Reprenant le thème de cette année, « Pour TOUTES les femmes et les filles : droits, égalité et autonomisation », le Prof. Djogbénou insiste sur le fait que l’égalité ne peut être une simple rhétorique. « Elle se construit par des initiatives concrètes, des décisions courageuses et des politiques publiques ambitieuses », affirme-t-il, appelant à des transformations profondes des mentalités et des pratiques.
Le Bénin, selon lui, est un exemple en la matière. Sous le leadership du Président de la République, des avancées notables ont été enregistrées, notamment avec l’amélioration du cadre juridique, le renforcement de la représentativité des femmes et la lutte contre les violences basées sur le genre. L’accès aux financements et la participation accrue des femmes à la gouvernance sont également des leviers essentiels pour accélérer cette dynamique.
*Un appel à la mobilisation collective*
Le président de l’Union Progressiste le Renouveau insiste cependant sur l’urgence d’un engagement collectif. « Une nation ne progresse jamais en laissant de côté plus de la moitié de ses forces vives », martèle-t-il, appelant à faire de l’égalité un combat quotidien.
Loin d’être une faveur, l’égalité doit être perçue comme un impératif de justice et d’efficacité. « À l’image du bel exemple que nous donne le gouvernement, nous devons poursuivre la marche », exhorte-t-il.
Ce 8 mars 2025, le Prof. Djogbénou invite ainsi l’ensemble des acteurs politiques, économiques et sociaux à se mobiliser pour que chaque femme et chaque fille puisse pleinement exercer ses droits. Car, comme il le rappelle, c’est en avançant ensemble que le Bénin pourra bâtir une société plus juste et plus prospère.
Boris MAHOUTO
