TCHOUAMÉNI : “JE SUIS TRÈS ATTACHÉ À L’AFRIQUE, PARCE QUE J’Y AI MES RACINES, AU CAMEROUN. J’AI FAIT DES INVESTISSEMENTS AU SÉNÉGAL POUR PERMETTRE AU PAYS DE SE DÉVELOPPER”
Josette Tchouaméni, mère d’Aurélien, l’a accompagné ces derniers jours au Sénégal, dans le cadre de sa fondation, la Fondation Prosperi. Elle en en explique les raisons et les projets à venir.
Ad« Nous avons décidé de créer cette fondation car Aurélien faisait déjà des actions mais de façon vraiment anonyme. A un moment donné, on a pensé que c’était bien de donner un cadre à ces actions, en faveur des personnes dans le besoin. C’est pour cette raison que nous avons créé le fond de dotation Prosperi, qui existe depuis un an. C’est une toute jeune structure. Nous avons commencé par des actions en France, car le fond de dotation a été créée en France, mais nous avons à cœur de nous tourner vers le continent africain, là où les besoins peuvent se faire ressentir. Ça peut être au Cameroun, notre pays d’origine, comme au Sénégal, en Côte d’Ivoire… On a envie de faire quelque chose aussi pour la jeunesse africaine et c’est ce qui explique notre présence au Sénégal ».
AdAurélien Tchouaméni expliqua l’importance pour lui concernant les actions à venir de sa Fondation.
« Je suis très attaché à l’Afrique, parce que j’y ai mes racines, au Cameroun. J’ai fait des investissements au Sénégal pour permettre au pays de se développer. Il fallait que je vienne voir où tout ça en était. Et je voulais tout simplement rencontrer la jeunesse sénégalaise, pour essayer de les inspirer et leur donner le sentiment que tout est possible dans la vie si on s’en donne les moyens. Le but principal du fond de dotation c’est de créer des opportunités, de permettre à des personnes qui sont dans des situations de vulnérabilité, d’avoir un avenir meilleur. A partir de là, on s’est basé sur trois piliers ; l’éducation, la santé et le sport. A partir du moment où il y a des personnes qui sont dans le besoin, et qui font partie d’un de ces trois piliers, on aura la possibilité d’aider. Après, évidemment, il faut regarder tous les types de projets que l’on peut soutenir ».
La rédaction avec