À l’approche de l’échéance présidentielle de 2026, le climat politique béninois se tend progressivement. Et parmi les figures les plus en vue, le président de l’Union Progressiste Le Renouveau, Professeur Joseph Fifamin Djogbénou, se retrouve au centre d’une série d’attaques jugées malveillantes et déstabilisatrices. En ligne de mire : des accusations infondées autour de sa supposée ambition présidentielle, des allégations qualifiées de « montages grotesques » par ses proches, et une campagne de dénigrement médiatique orchestrée dans l’ombre.
Des sources concordantes font état de manœuvres souterraines visant à affaiblir la cohésion interne du parti UP Le Renouveau, principal pilier de la majorité présidentielle. Ces manœuvres se multiplient à travers des publications, commentaires et insinuations sur les réseaux sociaux et dans certaines sphères médiatiques.

Au cœur des attaques, une accusation selon laquelle le président Djogbénou chercherait à s’imposer comme le candidat naturel à la succession du président Patrice Talon. Une allégation que les cadres du parti qualifient de pure fabrication, destinée à semer la division et à ternir l’image d’un homme politique reconnu pour sa rigueur, son attachement à la légalité et son sens de la collégialité.
*Un leadership serein, une ligne claire*
Ancien président de la Cour constitutionnelle et juriste chevronné, Joseph Fifamin Djogbénou n’a jamais laissé entendre publiquement une ambition personnelle non concertée au sein de son parti. Bien au contraire, selon ses proches collaborateurs, il demeure concentré sur **la structuration du système partisan, l’implantation du parti à la base et la consolidation des acquis politiques de la mouvance présidentielle.
Un haut cadre du parti confie : « Le Professeur Djogbénou est un homme de principes. Il croit à la discipline, à la méthode et au dialogue. Ce que nous vivons aujourd’hui, c’est une tentative d’intoxication pour créer une crise qui n’existe pas. »
*Des valeurs qui dérangent*
Dans un environnement politique en constante évolution, le leadership posé et constructif de Djogbénou semble déranger certains cercles nostalgiques des vieilles pratiques politiques. Son profil – à la fois intellectuel, loyal, méthodique et charismatique – contraste avec les approches populistes et opportunistes, ce qui le rend vulnérable aux critiques, parfois infondées.

Un observateur politique note : « Ceux qui jettent des pierres sur Djogbénou le font parce qu’il porte des fruits. Son engagement, son sang-froid, et son attachement à l’unité du parti en font une cible naturelle dans une période préélectorale où tous les coups sont permis. »
*L’UP Le Renouveau garde le cap*
Malgré ces manœuvres sordides voire dolosives visant à semer le trouble au sein de la grande famille de la mouvance présidentielle, le parti UP Le Renouveau poursuit son chemin, sereinement, sous l’impulsion de sa Haute Direction Politique. Ses activités sur le terrain, ses adhésions croissantes et son organisation interne témoignent d’une formation politique bien enracinée, résolument tournée vers 2026. Les mots du président Djogbénou lui-même, selon des confidences de ses proches, traduisent sa posture actuelle : « Le chien aboie, la caravane passe. »
À moins d’un an de la prochaine élection présidentielle, les tensions politiques montent inévitablement, mais les attaques personnelles ne devraient en aucun cas détourner l’opinion des vrais enjeux démocratiques : la continuité des réformes, la stabilité du système partisan et l’émergence d’un leadership crédible.
En dépit des montages et des rumeurs, Joseph Fifamin Djogbénou reste concentré sur l’essentiel : bâtir un parti fort, uni et préparé à relever les défis futurs. Le reste, pour lui, ne serait que bruit de fond.
CMM